Dans son ouvrage « Si j’avais su dans l’enfer du téléphone rose« , Michaël Bijaoui, pionnier dès 1986 du téléphone rose surtaxé, lève le voile sur des morts mystérieuses qui ont marqué de prés son entourage lorsque à ses vingt ans, il exerçait, dans l’industrie du disque. Du compositeur et producteur Nicolas Skorsky (Santa Esmeralda, Rozelyn Clark, Indra, Claude François Chanson populaire – ça s’en va et ça revient,) retrouvé en octobre 2014 poignardé dans la cuisine de son somptueux appartement parisien, au producteur sulfureux guadeloupéen Jacques Fred Pétrus aux Dance hits mondiaux, abattu par la mafia ritale dans sa villa de Saint-Félix , à la mort tragique du chanteur Mike Brant, associée à celle de son douteux imprésario Simon Wajntrob bizarrement « suicidé » en pyjama dans sa Jaguar au bois de Boulogne. Bijaoui livre une enquête minutieuse digne d’un polar, étayée de faits troublants. Un récit glaçant qui vous tiendra en haleine jusqu’à la dernière page et qui ne vous laissera pas indifférent
Dans les méandres d’un monde secret…
Vous pensiez tout savoir sur les années 80 ? Détrompez-vous ! Dans « Si j’avais su dans l’enfer du téléphone rose », Michaël Bijaoui vous entraîne dans les méandres d’un monde secret où le sexe, la perversion, l’argent , le banditisme, le business, cohabitent étrangement . À travers le récit détaillé de sa propre expérience, l’auteur dévoile les dessous d’affaires dans le milieu de la nuit et des millions générés par l’industrie du Rose audio, ayant marqué indéniablement les faits divers. Un livre à découvrir absolument pour tous les amateurs (trices) de thrillers et de récits vrais !